Quelque chose est pourri dans l'état du Danemark

{ $page->featured_image_alt }
0
0
0
0
Fullscreen Allegory Image
Signification
Cette phrase suggère qu'il y a quelque chose de terriblement mauvais dans le pays (Danemark) et implique la corruption ou la décomposition aux plus hauts niveaux. Elle indique un sentiment général de malaise et de moralité douteuse affectant le royaume, donnant au public un avant-goût des événements tragiques qui vont se dérouler.
Allégorie
Les éléments de l'image - un majestueux château drapé dans les couleurs ominieuses du crépuscule, des cieux sombres et tumultueux, un jardin en décomposition et des figures ombragées conspirant - signifient tous la corruption sous-jacente mentionnée dans la phrase. Le château symbolise l'État, tandis que le jardin en décomposition et les statues reflètent la décomposition morale et sociétale. Les figures ombragées mettent en évidence l'intrigue et la conspiration contribuant à l'état général de pourriture, approfondissant le sentiment que quelque chose est profondément mauvais au Danemark.
Applicabilité
Dans la vie personnelle, cette phrase pourrait servir de signal d'alarme pour rester vigilant face à d'éventuels problèmes ou à la corruption dans son environnement. Elle nous rappelle de faire preuve de prudence et d'enquêter lorsque les choses ne semblent pas bien, que ce soit au travail, dans les milieux sociaux, ou dans les contextes politiques et communautaires.
Impact
Cette phrase a eu un impact culturel et littéraire durable, souvent utilisée pour décrire des situations où une corruption ou une injustice est soupçonnée. Elle a été référencée dans de nombreux commentaires politiques et sociaux, renforçant sa pertinence intemporelle dans le diagnostic de la décadence sociétale et morale.
Contexte Historique
« Quelque chose est pourri dans l'état du Danemark » a été écrit par William Shakespeare en 1600 ou 1601. Elle est tirée de sa tragédie *Hamlet,* qui reflète et critique les complexités de la succession royale, des intrigues et de la corruption, des thèmes pertinents pour les conditions politiques et sociales de l'Angleterre élisabéthaine.
Critiques
Une critique de l'utilisation de cette phrase est qu'elle peut être excessivement sinistre et alarmiste, potentiellement exagérant les problèmes sans les comprendre pleinement. De plus, l'invoquer pourrait établir des parallèles non justifiés pouvant répandre la méfiance et la négativité.
Variations
Des variations de cette phrase ou des sentiments similaires apparaissent dans différentes cultures. Par exemple, dans la culture chinoise, la phrase « la pluie de montagne approche et le vent est plein de bâtiments » sert à symboliser des troubles ou une crise imminente, tout comme la célèbre réplique de Shakespeare.
280 caractères restants
Envoyer le commentaire

Aucun commentaire

  • {L'âge d'or est devant nous, non derrière nous.}

    L'âge d'or est devant nous, non derrière nous.

    Ralph Waldo Emerson

  • {Par moi l'on entre dans la cité dolente, par moi l'on entre dans l'éternel tourment, par moi l'on entre parmi la gent perdue.}

    Par moi l'on entre dans la cité dolente, par moi l'on entre dans l'éternel tourment, par moi l'on entre parmi la gent perdue.

    Dante Alighieri

  • {La dame proteste trop, je pense.}

    La dame proteste trop, je pense.

    William Shakespeare

  • {L'amour est une force qui transforme et améliore l'Âme du Monde.}

    L'amour est une force qui transforme et améliore l'Âme du Monde.

    Paulo Coelho

  • {Je suis celui qui a aimé non avec sagesse, mais trop intensément.}

    Je suis celui qui a aimé non avec sagesse, mais trop intensément.

    William Shakespeare

  • {Est-ce un poignard que je vois devant moi, le manche vers ma main?}

    Est-ce un poignard que je vois devant moi, le manche vers ma main?

    William Shakespeare

  • {Je porterai mon cœur sur ma manche pour que des choucas viennent le picorer.}

    Je porterai mon cœur sur ma manche pour que des choucas viennent le picorer.

    William Shakespeare

  • {Ce qui est fait ne peut être défait.}

    Ce qui est fait ne peut être défait.

    William Shakespeare