”Le diable peut citer les Écritures pour ses propres fins“ William Shakespeare Citation Fin du XVIe siècle Angleterre 0 0 0 0 Écrivez le premier commentaire Signification « Le diable peut citer les Écritures pour ses propres fins » suggère que même ceux ayant des intentions malveillantes peuvent utiliser des textes ou des idées respectés pour justifier leurs actions. Cette phrase reflète l'idée que la connaissance et la sagesse peuvent être détournées pour servir de mauvaises intentions, et qu'il faut discerner les vraies intentions derrière l'utilisation de tels textes. Allégorie La figure encapuchonnée dans la grande bibliothèque représente le diable ou des individus aux intentions malveillantes, utilisant le cadre d'un lieu d'apprentissage et de respect (la bibliothèque) pour symboliser comment des textes faisant autorité ou des doctrines sacrées peuvent être détournés à des fins malveillantes. L'éclat sinistre émanant du livre dans la main de la figure souligne l'idée de manipulation malveillante. L'environnement serein avec la lumière entrant par la fenêtre met en avant la pureté et la connaissance environnantes, illustrant le contraste frappant et la tromperie de la véritable nature de la figure. Cette image représente le message central de la phrase : la vigilance contre ceux qui détournent des textes ou des idéaux respectés à des fins égoïstes. Applicabilité Cette phrase sert d'avertissement : Méfiez-vous des individus qui manipulent des doctrines ou des croyances respectées à des fins égoïstes. Elle encourage la pensée critique et la vigilance, nous rappelant de scruter les motifs derrière les arguments persuasifs, même lorsqu'ils semblent être soutenus par des sources réputées. Impact Cette phrase a eu un impact considérable sur la culture et la littérature, souvent utilisée pour mettre en lumière l'hypocrisie et la manipulation. Elle a été citée dans diverses discussions sur l'éthique, la religion et la moralité, et sert de rappel du potentiel de tromperie sous couvert de droiture. Contexte Historique La phrase trouve son origine à la fin du XVIe siècle, spécifiquement dans "Le Marchand de Venise", qui est censé avoir été écrit entre 1596 et 1599. À cette époque, il y avait une forte emphase sur le discours religieux et la mauvaise utilisation des textes religieux par différents groupes, ce qui aurait pu influencer l'inclusion de cette ligne par Shakespeare. Critiques Il existe des critiques suggérant que la phrase pourrait être interprétée comme trop cynique, insinuant que toutes les utilisations des textes autoritaires sont suspectes. De plus, elle pourrait être considérée comme désobligeante envers les croyances sincères des gens en insinuant qu'elles pourraient être manipulatrices. Variations Bien qu'il n'existe pas de variations directes de cette phrase, le concept d'utiliser de manière abusive des textes ou des idées respectés à des fins personnelles est présent dans de nombreuses cultures. Différentes sociétés peuvent avoir leurs propres proverbes ou dictons reflétant des sentiments similaires sur la tromperie et la prudence. Retour à la description 280 caractères restants Envoyer le commentaire Aucun commentaire L'âge d'or est devant nous, non derrière nous. Ralph Waldo Emerson Lire la suite Joyeux comme un pinson. William Shakespeare Lire la suite Il n'est pas étrange... de confondre changement et progrès. Millard Fillmore Lire la suite Double, double toil and trouble; fire burn and cauldron bubble. William Shakespeare Lire la suite La tête qui porte une couronne repose mal à l'aise. William Shakespeare Lire la suite Sois fidèle à toi-même. William Shakespeare Lire la suite Je porterai mon cœur sur ma manche pour que des choucas viennent le picorer. William Shakespeare Lire la suite On ne meurt qu'une fois. William Shakespeare Lire la suite Donne-moi mon manteau, mets ma couronne; j'ai en moi des désirs immortels. William Shakespeare Lire la suite Je suis celui qui a aimé non avec sagesse, mais trop intensément. William Shakespeare Lire la suite Un ami devrait supporter les infirmités de son ami, mais Brutus rend les miennes plus grandes qu'elles ne le sont. William Shakespeare Lire la suite Si vous nous piquez, ne saignons-nous pas? William Shakespeare Lire la suite En vous connectant, vous pourrez sauvegarder vos préférences et ajouter des commentaires. En vous connectant, vous pourrez sauvegarder vos préférences et ajouter des commentaires. Sign in with: or with your email address: Email Password Se connecter Loading... Nom Insérez votre nom ou pseudo (3 à 20 caractères). Email Insérez une adresse e-mail valide à vérifier. Password 8+ caractères, 1 majuscule, 1 minuscule, 1 chiffre, 1 caractère spécial @$!%*?_+ En cliquant sur le bouton d'inscription, vous recevrez un email de vérification. Créer un compte Nouveau ici ? Créez un compte. Précédent Fermer
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