Pour accomplir un grand bien, commettez un petit mal William Shakespeare Citation Renaissance, fin du XVIe siècle Angleterre 0 0 0 0 Écrivez le premier commentaire Signification Cette citation suggère l'idée de flexibilité morale : parfois, pour atteindre un résultat positif significatif, il peut être nécessaire de faire des compromis éthiques mineurs. Dans "Le Marchand de Venise", Bassanio utilise ce raisonnement dans l'Acte IV, Scène 1, pour justifier de fléchir la loi afin d'atteindre une justice plus grande. La phrase pose un dilemme philosophique sur la question de savoir si la fin justifie les moyens et met en lumière les troubles et ambiguïtés inhérents à la prise de décision morale. Allégorie Le juge ou le philosophe serein à la croisée des chemins représente le décideur réfléchi, incarnant la sagesse et le fardeau du choix moral. Les chemins séparés symbolisent la distinction nette entre la droiture et le compromis. La ville brillante de "Grand Bien" en arrière-plan signifie l'issue ultime et désirable, offrant une métaphore visuelle pour les complexités et les conséquences des décisions éthiques. Le contraste de lumière et d'ombre le long de ces chemins invite les spectateurs à réfléchir sur le parcours nuancé visant à atteindre une grande justice par de petites concessions éthiques. Applicabilité Dans la vie quotidienne, cette phrase peut être appliquée lorsqu'on est confronté à des dilemmes impliquant des compromis éthiques. Elle rappelle aux individus de réfléchir aux conséquences plus larges de leurs actions et de considérer si des compromis éthiques mineurs pourraient mener à un bien plus grand. Cependant, elle sert aussi de rappel prudentiel pour évaluer soigneusement de telles décisions et considérer le potentiel de justifier trop facilement des actions mauvaises. Impact L'exploration de la justice et de l'éthique par Shakespeare dans "Le Marchand de Venise" a eu un impact durable. La phrase a suscité des discussions dans la littérature, le droit et la philosophie. Elle est souvent citée dans des débats concernant les dilemmes éthiques et la moralité d'utiliser des moyens douteux pour atteindre des fins désirables, soulignant la complexité de la morale humaine. Contexte Historique Cette phrase provient de "Le Marchand de Venise", écrit par William Shakespeare vers 1596-1599. La période de la Renaissance, une époque de renouveau de l'intérêt pour les arts, la philosophie et l'humanisme, forme le cadre de cette phrase. Cette époque encourageait une exploration profonde des dilemmes éthiques tels que celui que la phrase encapsule. Critiques Cette phrase a suscité la controverse parce qu'elle semble valider l'idée de faire le mal pour un plus grand bien, ce qui pourrait être détourné pour justifier des comportements peu éthiques. Les critiques soutiennent qu'elle peut dangereusement brouiller les lignes de la moralité, rendant plus facile la rationalisation d'actions immorales si elles produisent des résultats bénéfiques. Variations Il existe des variations de cette phrase à travers les cultures. Par exemple, le concept existe dans diverses traditions religieuses et philosophiques qui débattent des implications morales d'utiliser des actions immorales pour obtenir des bénéfices plus grands. Dans certaines interprétations, cela est vu comme une approche pragmatique, tandis que d'autres la considèrent avec méfiance et prudence. Retour à la description 280 caractères restants Envoyer le commentaire Aucun commentaire Pleurer, c'est diminuer la profondeur de sa douleur. Ovide Lire la suite Quand les malheurs arrivent, ce n'est jamais en éclaireurs solitaires, mais en bataillons. William Shakespeare Lire la suite Il n'y a rien de bon ou de mauvais en soi, c'est la pensée qui le rend ainsi. William Shakespeare Lire la suite O tempora, o mores!. Marcus Tullius Cicero Lire la suite Je dois être cruel, seulement pour être gentil. William Shakespeare Lire la suite Bonne nuit, bonne nuit ! Se quitter est une telle douce peine. William Shakespeare Lire la suite Je suis un homme plus pécheur que pécheur. William Shakespeare Lire la suite Je ne suis pas tenu de te plaire avec mes réponses. William Shakespeare Lire la suite Pour faire un grand bien, fais un petit mal. William Shakespeare Lire la suite Être ou ne pas être, telle est la question. William Shakespeare Lire la suite En vous connectant, vous pourrez sauvegarder vos préférences et ajouter des commentaires. En vous connectant, vous pourrez sauvegarder vos préférences et ajouter des commentaires. Sign in with: or Sign in with your email address: Email Password Se connecter Loading... Nom Insérez votre nom ou pseudo (3 à 20 caractères). Email Insérez une adresse e-mail valide à vérifier. Password 8+ caractères, 1 majuscule, 1 minuscule, 1 chiffre, 1 caractère spécial @$!%*?_+ En cliquant sur le bouton d'inscription, vous recevrez un email de vérification. Créer un compte Nouveau ici ? Créez un compte. Précédent Fermer
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