”La politique est l'art de chercher des ennuis, d’en trouver partout, de les diagnostiquer incorrectement et d’appliquer les mauvais remèdes“ Ernest Benn Aphorisme Début du XXe siècle Royaume-Uni 0 0 0 0 Écrivez le premier commentaire Signification La phrase suggère que la politique consiste souvent à exagérer voire à créer des problèmes, à les comprendre de travers, puis à mettre en œuvre des solutions qui font plus de mal que de bien. Ce cynisme reflète une méfiance envers les systèmes politiques et souligne l’ironie selon laquelle les détenteurs du pouvoir ne sont pas toujours les plus compétents pour résoudre les problèmes. Allégorie Le cadre du cabinet médical représente l'arène politique, avec le médecin symbolisant les politiciens. Le patient surdimensionné, couvert de bandages, représentant la société, illustre le dommage cumulatif dû à de mauvais remèdes. Les créatures monstrueuses en arrière-plan personnifient des problèmes mal compris qui continuent de causer des ravages malgré de nombreuses tentatives pour les contrôler. Les outils et les graphiques qui ne correspondent pas aux besoins du patient symbolisent les efforts politiques mal orientés et inefficaces. Le fouillis de dossiers et de médicaments inadaptés met en évidence le chaos et la confusion souvent présents dans les actions politiques, tout comme la phrase décrit une résolution des problèmes infructueuse en politique. Applicabilité Appliquer la signification de cette phrase à la vie personnelle peut servir de rappel à être prudent face aux solutions trop simplistes ou réactives à des problèmes complexes. Elle encourage individuellement à bien comprendre un problème avant de tenter de le résoudre et à se méfier de ceux qui prétendent avoir toutes les réponses sans une compréhension claire du problème. Impact L'impact de cette phrase a été de mettre en lumière la nature souvent absurde et contre-productive des mécanismes politiques. Elle résonne dans divers contextes de désillusion politique et a été utilisée pour critiquer la gouvernance inefficace à l’échelle mondiale. La phrase est particulièrement populaire dans les discussions sur la réforme politique et la responsabilité. Contexte Historique Ernest Benn était actif au début du XXe siècle. La phrase provient probablement de cette période, qui était une époque de bouleversements politiques importants et de changements sociaux – après la Première Guerre mondiale, la période de l’entre-deux-guerres et menant à la Seconde Guerre mondiale. Durant ces périodes, il y avait une déception publique généralisée à l'égard des dirigeants et processus politiques. Critiques Les critiques de cette phrase pourraient se concentrer sur sa vision trop cynique de la politique, susceptible de saper l'engagement politique constructif et de favoriser l’apathie ou la méfiance parmi les citoyens. Elle pourrait également être perçue comme délégitimant les efforts politiques authentiques visant à trouver des solutions efficaces. Variations Des variations de cette phrase reflètent des opinions similaires à travers différentes cultures. Par exemple, il existe un proverbe russe : « La stupidité et le désespoir sont les parents de la politique », qui parle également de la nature imparfaite de la prise de décision politique. L’interprétation du cynisme politique est un thème assez universel, montrant que la méfiance envers les systèmes politiques est communément présente dans de nombreuses cultures. Retour à la description 280 caractères restants Envoyer le commentaire Aucun commentaire Nous devons être le grand arsenal de la démocratie. Franklin D. Roosevelt Lire la suite Fiez-vous, mais vérifiez. Ronald Reagan Lire la suite Il vaut mieux être craint qu'aimé, si l'on ne peut être les deux. Nicolas Machiavel Lire la suite Le service public est une confiance publique. Culture populaire Lire la suite Avec des amis comme ça, qui a besoin d'ennemis ? Joey Adams, Plaute (attributions variables) Lire la suite Toute guerre est fondée sur la tromperie. Sun Tzu Lire la suite Les fonctions publiques sont le dernier refuge des incompétents. James Goldsmith Lire la suite Le meilleur gouvernement est celui qui gouverne le moins. Henry David Thoreau Lire la suite Nous gagnons notre vie grâce à ce que nous recevons, mais nous façonnons notre vie grâce à ce que nous donnons. Winston Churchill Lire la suite La liberté, c'est le droit de dire aux gens ce qu'ils ne veulent pas entendre. George Orwell Lire la suite L'imagination est plus importante que la connaissance. Albert Einstein Lire la suite Le génie, c’est un pour cent d’inspiration et quatre-vingt-dix-neuf pour cent de transpiration. Thomas Edison Lire la suite En vous connectant, vous pourrez sauvegarder vos préférences et ajouter des commentaires. En vous connectant, vous pourrez sauvegarder vos préférences et ajouter des commentaires. Sign in with: or Sign in with your email address: Email Password Se connecter Loading... Nom Insérez votre nom ou pseudo (3 à 20 caractères). Email Insérez une adresse e-mail valide à vérifier. Password 8+ caractères, 1 majuscule, 1 minuscule, 1 chiffre, 1 caractère spécial @$!%*?_+ En cliquant sur le bouton d'inscription, vous recevrez un email de vérification. Créer un compte Nouveau ici ? Créez un compte. Précédent Fermer
Avec des amis comme ça, qui a besoin d'ennemis ? Joey Adams, Plaute (attributions variables) Lire la suite
Nous gagnons notre vie grâce à ce que nous recevons, mais nous façonnons notre vie grâce à ce que nous donnons. Winston Churchill Lire la suite
La liberté, c'est le droit de dire aux gens ce qu'ils ne veulent pas entendre. George Orwell Lire la suite
Le génie, c’est un pour cent d’inspiration et quatre-vingt-dix-neuf pour cent de transpiration. Thomas Edison Lire la suite